Retour a la maison (Léonie)

Messages : 30 Date d'inscription : 15/02/2009 Localisation : Montréal

Léonie était partie pour essayer de trouver des informations sur sa famille. Je pouvais tout à fait comprendre ça, et j'en avais profité pour passer une bonne soirée avec mon épuisante mais adorable petite fille. Nous avions manger assez tôt, et j'avais passer un petit bout de la soirée à jouer à la poupée avec elle. Où plutôt, à exécuté tout ce qu'elle me disait de faire. D'ailleurs, j'avais pu remarqué que c'était une petite assez autoritaire. Et bien sur, comme la majorité des papa, j'étais bien trop gâteux pour protesté.

Quand il fut l'heure, je la mis au lit et commença à lui lire une longue histoire. Elle s'endormit lorsque j'en eut lu la moitié. Je lirai la suite le lendemain. Malgré son sommeil, je restai près d'une dizaine de minutes à l'observer dormir. Enfin, je me levai, l'embrassai sur le front, remontai ses couvertures, et quittai la pièce. Je me rendis dans le salon pour attendre Léonie que je trouvais bien longue à revenir. J'avais calé la télé sur la rediffusion nocturne d'un match de Hockey, l'équipe de Montréal contre ceux de Pittsburg. Je regardais ça que d'un œil, à moitié endormis, quand un bruit de clé qu'on tourne dans une serrure retentit du côté de la porte. Je resta avachi sur le canapé, sachant a l'avance que c'était ma femme.

-Bonsoir chérie. Ou bonne nuit, comme tu veux.

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J'avais rapidement quitter Gabriel apres l'affrontement avec ses deux hommes stupides! Pourquoi à chaque fois que je sortait seul dans les bars je me retrouvait toujours avec des enmerdes ! C'était décidé! Plus jamais je ne quitterai Zohar quand il était temps de se rendre dans ce genre d'endroit ! Aumoins le point positif c'est que je pense m'etre fait une amie. C'était un peu nul arriver dans une ville sans connaitre personne. Peu importe. Le taxi arriva devant l'appartement. Je le paya en laissant un bon pour boire et un plus pour ne pas qui chiale trop pour le sang laisser sur la fenêtre puis le quitta. Je monta silencieusement les marches pour me rendre chez moi . Je priais pour que la petite est épuiser assez Zohar pour qu'il soit déjà au lit. Le temps qu'il se leve pour venir me saluer j'allais avoir le temps de me changer de vêtement et de lui caché ma blessure jusqu'a demain matin.

Malheureusement Zohar était toujours debout. Je soupira et entra dans l'appartement. Il me salua de sa douce voix. Je lui sourit avec le plus de joie naturel que je pouvais y mettre avait de ferme la porte derrière moi. Il n'allait pas garder son calme longtemps. Du sang sur une chemise blanche sa se voir trop bien et aussi l'hémorragie ne s'était pas encore arrêter.

-Hi Baby....

Je ne le regarda pas trop longtemps. Je marcha aussi rapidement que mon corps endolorie pouvais le faire. Rendu dans la salle de bain j'entre ferma la porte et fit couler l'eau pour m'occuper de ma plait. C'est en me regarda dans la miroir que je perdis pied. Je reculla pour m'assoir sur la toilette en attendant que les nauser passe.

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Elle me répondit en anglais, encore une fois. Je la regardai avec un petit sourire... Qui s'effaça sitôt que la vue d'une tache sombre sur son chemisier blanc m'apparut. Moins d'une seconde après, je sentais l'odeur du sang. Le temps que je me lève pour aller voir ce qui s'était passer, elle s'était enfermé dans la salle de bain. N'osant pas entrer, de peur qu'elle décide de s'en prendre a moi et qu'on finisse par se fâcher, je restai derrière le battant.

-Léonie, mon ange. Ça va ? Qu'est ce qui s'est passer ?

J'étais vraiment inquiet, et même si je parlais doucement pour ne pas réveillé et alerté notre fille, ma voix trahissait mon inquiétude et mon énervement. Si elle saignait, c'est qu'il y avais eut une bagarre ou quelque chose de ce genre. Et, ça, je détestais. J'arriverai a trouver une odeur sur ces vêtements. Et même si je suis obligé de quadrillé la ville mètres carré par mètres carré, je finirai par le trouver. Et malheureusement pour cette personne là, j'ai une très bonne mémoire olfactive.

-My love, please, open this door

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{Regarde ma signature !! Elle est trop belle !!!Et Zohar est même cacher dessus ! J'aime trop Claudia!!}

Je me pris la tête entre les deux mains quand j'attendis la voir de mon mari m'appeler. Je ne voulais pas lui répondre en se moment. Qu'il me laisse un peu tranquille. Juste le temps de me vidé de mon sang , ce qui risquait d'être long, pour ne pas que je meurs de honte en l'écoutant me faire un sermon. Je fini par me lever de nouveau pour prendre une débarbouillette . Une fois l'objet en main je la mis sous l'eau et commença à me nettoyer en en silence tout en faisant attention à ne pas regarder l'eau rougir. C'est à se moment la que Zohar se mit à me parler en anglais. Surement pour être que je comprenne se qu'il me dit.

-Wait Zohar!.....please....

Je fini rapidement par m'arranger le visage. Par chance avec moi qui tombait et me coupait toujours on n'avait tout se qui fallait pour guérir les petites blessure sans avoir besoin de se rendre à l'hôpital. Une fois les bande de rapprochement mise en place je mis ma main sur la poignée pour lui ouvrir la porte. J'arrêta mon mouvement en remarquant le sang sur ma chemin. Sans prendre la peine de défaire les boutons, je les arrache et la lanca dans la poubelle. J'étais un peu sur les nerfs. On pouvait se croire 5 ans en arrière quand je me retrouvais toujours dans se genre d'emmerde!

J'avais encore mal au corps , mais c'était moins douloureux qu'a mon arriver. D'ici un heur tout allait bien aller. Je passa ma robe de chambre avant d'ouvrir la porte. Zohar était toujours à coté de la porte.

-Please Stay Calm Honey...

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(Nice!)

J'attendis. Je n'avais rien d'autre à faire qu'attendre. Je pris quelques grandes respirations pour me calmer. Léonie sortit, et je fus instantanément soulagé. Elle semblait aller bien. Sa blessure n'étais pas aussi grave que je l'avais tout d'abord cru. Mais quand elle me demanda de rester calme, je commençai a suspecté que ce qu'elle allait me raconter n'allait vraiment pas me plaire.[/i

-Je vais essayer. Mais d'abord, assis toi. Tu as l'air aussi forte qu'un poussin qui viens juste de sortir de l'œuf.

[i]Je lui passai un bras autour de la taille pour la soutenir, au cas où. J'aurai préféré la porté mais je ne savais pas comment elle allait réagir. En tout cas, si elle refusait de s'assoir, c'est certain que je la porterai. Je la menai vers le salon en attendant ses explications à propos de sa blessure et de ce qui s'était passer. Une chose de sûre, c'est que ces sorties nocturnes seules étaient terminé.

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-Un poussin doit être fort pour sortir de l'œuf Honey...

Je le laissa me trainé avec lui vers le salon sans rouspété. De toute façon sa n'aurai servis à rien. Quand il décide de faire son homme protecteur il ne me lache pas. Je frissona quand sa main toucha mon dos. C'était encore une peu sensible, mais supportable. Je détestais me servir de mon pouvoir, j'en avais toujours pour un trop long moment à bien entré dans mon corps! On me disait toujours que j'allais finir par être capable d'entré un jour dans mon corps sans me blesser. J'attendais encore se jour qui se laissais un peu trop désiré à mon gout! Une fois arriver dans le salon je me laissa tombé tranquillement sur le divan. La télévision capta tout de suite mon attention. Les pingouins venait de créée un score de 4 à 2 pour eux. Encore une fois les Canadiens allaient perdre. Ils sont vraiment à chier depuis un moment ceux la! Il y a toujours des limites à perdre la face !

Une fois ma petite analyse de la game fait je regarda mon mari qui attendait des explications. Je soupira. Quelque fois avec lui je me sentais comme une gamine qui se fait grondé par son père parce qu'elle vient de faire une bêtise.

-C'est moins pire que ça parait. It's just a bad luck....again...

Je lui fis un petit sourire pour le calmer un peu, mais mon sourire m'arracha une petite grimace.

-You Know my old story Zohar! Quand je vais dans un bar, j'attire tout les bad boy...Et j'ai même pas réussi a voir le Duval....

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Léonie avais réponse a tout. Mais elle accepta malgré ça de m'écouter d'aller se mettre sur le divan. Si elle ne protestait pas, c'est que ça n'allait pas aussi bien qu'elle voulait le faire croire. Et d'après ce que je pouvais voir, elle avais utiliser son pouvoir. Je m'assis a côté d'elle et la regarda. Elle me fournit un semblant d'explication qui ne me satisfaisait pas vraiment. Je savais qu'elle avais toujours attiré les ennuis et tout ça, mais ça ne me racontait pas ce qui s'était passer ce soir. Pire encore, j'avais compris que c'était des hommes qui s'en étaient pris à elle. J'essayais de me concentrer sur l'image mentale de ma femme et de ma fille pour calmer ma colère.

-Tu pourrai m'expliquer les faits ? Je te demande pas de te justifier mon ange. Je veux juste savoir ce qui s'est passer.

Et comme elle n'avais pas réussi a voir l'homme, elle allait certainement vouloir y retourner.

-La prochaine fois... On ira en début de soirée, ou même dans la journée.

J'avais volontairement dit "on", et y aller plus tôt permettrait d'éviter tout les alcooliques et autres pervers qui se prennent pour des hommes a qui tout est permis.

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Je soupira tout en m'étirant la colonne pour soulagé la douleur avant de reprendre la parole. Si je lui disais tout tout de suite j'allais surement pouvoir m'en sortir et pouvoir aller me coucher et peu-être espéré avoir un calin. Enfin, s'il ne me fait pas prendre trop les nerfs... Sinon j'espérais pouvoir avoir le droit le mordre! Sa lui apprendra!

-C'est pas grand chose. Juste les vieilles habitude qui me colle à la peau. J'étais assise au bar, je parlais avec une femme quand un imbécile est arrivé accompagner de son ami. Il voulait que je saute dans son lit avec lui, j'ai pas eux envi alors je suis parti avant que les choses s'envenime trop. Je ne voulais pas encore une fois me mettre dans la merde, mais que veux-tu ! Je suis née pour attiré les connard! Et je ne parle pas de toi !

Je lui pris la main tout en continuant de parler. Je ne voulais pas qu'elle commence en devenir parano ou qu'il décide de se rendre dans la rue pour voir si le gars trainait toujours dans les poubelles pour aller lui faire regretter sa venu au monde.

- J'étais parti avec la femme et ils ont décidé de nous suivre. Et on c'est battu... C'est aussi simple que sa.. Il n'y a pas a aller plus loin....

Je fini par lâché sa sa main et tourna la tête vers la télévision. C'était assez... Je voulais pas de prise de tête ce soir. J'avais eu ma dose.

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J'écoutai l'histoire de ma femme tout en passant par tout le panel d'émotions ce situant entre la colère et l'inquiétude. J'essayai de cacher toutes ces émotions du mieux que je le pus. Léonie me fit comprendre qu'il ne fallait pas en faire une histoire. Et bien sur, follement amoureux d'elle et prêt à tout pour elle, j'obéirais. Pour cette nuit. Demain serait un autre jour. Elle conclus de manière lasse et lâcha ma main. Je la repris.

-Très bien mon ange. Je pense que l'homme à eut sa dose pour ce soir. Et je pense que ce n'est pas le moment de trop en discuter. Tu as besoin de te reposer. Tu veux quelque chose de chaud ? Je peux aller te faire un chocolat si tu veux...

La proposition pouvais paraitre absolument stupide, mais quand on se sent mal, un peu de chaleur fait du bien, et un petit chocolat chaud apaise et apporte un peu de réconfort. J'ai toujours trouvé que cette boisson avait des vertus relaxantes. Je passai le bras de ma main valide sur le dossier du divan pour jouer avec les cheveux de Léonie, tout doucement, en attendant une réponse.

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Why not...

Je me laissa doucement caresser les cheveux. J'adore tellement toute les caresses qu'il pouvait me donner. Avoir eu une enfant aussi jeune nous avait mit quelque bâton dans les roues coté affections. Pranoyaque comme je suis je refusais de me faire toucher durant ma grossesse de peur que le bébé soit blesser et j'avais trop de saute d'humeur pour avoir le gout de lui. Je pleurais sans arrêt pour un oui et pour une non , j'étais vraiment pas commode. Peu importe.Après une accouchement aucune femme se sens femme, donc encore la il du attendre.Quand l'enfant vient au monde nous sommes rendu mère rien de plus. Et maintenant que mes envi son revenu normal, il y a toujours Lou dans le coin qui me forcé à m'éloigner de mon époux. Je ne m'en plaint pas, sa ne fait que toujours me donner des frissons quand il me touche. Même apres cinq quand de vie commune je ne suis pas tanner de lui.

Il arrêta la caressa dans mes cheveux pour aller faire le chocolat. Je l'attrapa rapidement par le poignet et ouvrit les yeux pour le regarder. Je ne voulais pas resté toute seule dans le salon. Pour lui moment ou je pouvais être avec lui sans qu'on soit entrain de dormir.

-Stay With me....

Je le forçais un peu à resté avec moi. Je me déplace de manière à pouvoir me blottir contre son corps chaud et réconfortant.

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J'allai partir préparé les boissons quand ma femme me retint. Je me rassis et Léonie vint se blottir contre moi. Je passai mes bras autour d'elle et la serrai contre moi. Je posai ma joue contre ses cheveux qui sentent si bons.

-Je t'aime.

Puis je restai silencieux un moment, savourant l'instant de tranquillité que nous avions. Lou est géniale, mais vraiment épuisante. Le calme de ce moment est vraiment agréable après avoir passer une soirée avec une tornade. Le match se termina sur une défaite de l'équipe de Montréal. Et comme j'avais la flemme de couper la télévision, il y eut un peu de pub avant d'enchainer sur un match de NBA. Mes yeux commençait a se fermé et je ne pris même pas la peine de regarder quelles équipes étaient sur le terrain.

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-Je t'aime aussi.

Je me blottis un peu plus contre lui quand il passa ses bras autour de mon corps. J'étais si bien ! Je fermais les yeux pour me détendre un peu plus. La douleur était de moins en moins présente dans mon corps ce qui était une bonne nouvelle. Je me laissa bercé par les battements régulier de son coeur. Je fini par m'endormir au lui. La position était confortable, du moins pour le moment, mais je savais qu'a mon réveille j'allais me ramasser une de ses mal de dos!

Je me réveilla un peu plus tard. Je ne savais pas combien de temps s'était passer. Zohar n'avait pas bouger, enfin un peu, il me tenait de manière un peu trop serré, c'est ce qui m'avait réveiller. Je lui caressa doucement la main pour qu'il arrêté un peu. Il devait s'être endormi avec en tête l'histoire que je lui avais conté , donc il devait rêvé à ça. Je fini par enlever son bras pour m'assoir d'une manière un peu plus confortable. Je m'étira pour faire passer le rackage. Je pris la télécommande et mit le 29, le canal des nouvelles pour voir l'heure. Il était passer 4 heures du matin . À la télévision on voyait des images d'une maison ou des personnes allaient porter des peluches devant la porte. C'est seulement après quelques minutes que je compris que c'était le conte rendu d'un meurtre survenus ce week end. Un pere avait prit la vis de ses enfants avant d'essayer de se tuer. Il avait manquer son coups. Comme je suis une personne émotive je du saché quelque larmes de sur mon visage. Le monde était si triste. Je détestait écouté les nouvelles! Il faudrait vraiment pensé à mettre des cadran que l'on peu lire dans le noir.

Je fini par me lever. Je pris la main de mon homme tout en lui caressa doucement la barbe. Je lui donna une baiser sur le front avant de prendre la parole doucement.

-Sweet heart. Tu vas mal domir ici. Come with me.

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Finalement, le sommeil me gagna. J'étais bien, avec ma femme dans mes bras, et un bruit de fond pour me bercé. Je me savais en sécurité, et je savais ma famille en sécurité elle aussi. Tout ça me fit plonger dans un profond sommeil. Profond, mais légèrement agité parce que l'aventure de Léonie me tracassait. Les rêves sont souvent l'expression de nos craintes, et l'histoire de ma femme se réalisait, en pire. Soudain, le rêve changea. Nous étions au parc, sur un banc, en plein soleil. Oui, je suis comme les chats, j'aime me prélassé au soleil. Léonie était avec moi et me caressait la joue. Puis je me réveillai et je constatai que la réalité et le rêve s'était mélanger pour me tirer doucement de mon sommeil.

-Je peux dormir n'importe où... Mais je viens quand même.

Je m'étirai, faisant craquer quelques os, et me levai souplement. Je pris la télécommande et éteignit la télévision qui passait le témoignage d'une femme proche de la famille.

-Faut pas regardé ce genre de chose mon ange. Allons au lit.

Je pris la direction de la chambre.

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Il ouvrit les yeux puis se mit à parler. Il était mieux de venir avec moi sinon pour le boudé je lui ferai gouté plus souvent au divan. Il se leva sans oublier de faire craquer tout ses os. Je fis une petite grimace de dégout. Vraiment ! Un jour il allait finir par perdre quelque os s'il n'arrêtait pas son petit jeu de ''crik crak'' tout de suite. Puis il me fit la moral sur ce que j'écoutais. Quelque fois je devais me demandé si j'étais sa femme ou sa fille adoptive. Il était un peu trop protecteur avec moi , mais au moins il n'était pas étouffant. Je le suivis pour me rendre dans la chambre , mais tourna du mauvais sens pour me rendre dans la salle de bain. Pas question que je laisse un vêtement tacher de sang dans le bain ! Si Lou voit ça elle va resté traumatiser!

Une fois dans la salle de bain je ramassa le vêtement et regarda la blessure. Un bleu commençait à se faire sur ma peau. Une chance que j'étais pas trop pire avec le maquillage! Je me brossa les dents avant de quitter la pièce. Avant de me rendre dans ma chambre je passa par la cuisine pour mettre le blouse dans un sac et envoyé le sac sur la galerie.

Quand je mis les pieds dans la chambre Zohar était déjà au lit. Je lui souris puis ferma la porte derrière moi question d'avoir un peu plus d'intimité. J'enleva tout les vêtements de mon corps et enfila quelque chose de plus propre et confortable. Ce qui s'arrêtait souvent a de boxer féminin et une chemise à Zohar. Je suis accro à ses chemise ! Elle sont grande douce et elles sentent toujours bon!

-Dans moins de trois heures la vie recommence.

Je passa sous les couverture et me mit tout de suite à la recherche de la chaleur de son corps. Une fois trouver je me colla contre lui et me mit à lui caresser le ventre.

-Jespere que tu as bien endormis Mary...

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Je trainai mes pieds en allant jusque dans la chambre. Léonie m'abandonna pour aller se changer. J'enlevai mes affaires et me vautra sur le lit. Je me glissai sous les draps et poussai un soupir d'aise. J'étais quand même mieux bien au chaud dans mon lit. Ma femme me rejoignit et un sourire flotta sur mes lèvres. Son odeur était un véritable délice. Elle se glissa a son tour dans le lit et se mit contre moi.

-Hum... Oui, elle dors bien. Elle ne s'est pas réveillé, donc ça doit être bon.

Ma voix était un peu endormis, et mes yeux étaient fermé. Le sommeil recommençait a me gagner. Si Léonie avait autre chose a dire, elle devrait le dire vite et me secouer pour que je réponde, sinon, elle devrait attendre le lendemain. Ou plutôt, comme elle l'a signalé elle même, dans quelques heures. Rien qu'a cette pensé, je fus encore plus fatigué. Une nouvelle journée allait démarré, j'allais devoir me lever pour aller au travail, et Lou allait être épuisante. Bref, une journée normal. Fatigante, mais agréable et normale.

-J'aime les journée normales...

J'avais pensé a voix haute, plus pour moi même que pour Léonie.

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Je continuais de lui caresser doucement ventre. Je me redressa pour pouvoir regarder son visage, ma main arrêta de jouer sur son ventre pour aller lui jouer dans la barbe. Il était sur le point de s'endormir. Un sourire s'afficha sur mon visage puis je lui déroba un doux baiser.

-Good Night Sweet Heart.

Je l'embrassa de nouveau avant de me coucher en me servant de son épaule comme d'un oreiller. Je remonta la couverture pour l'avoir sous mon menton et tenta de m'endormir de nouveau. Zohar y arriva rapidement, moi sa me prit une bonne heure si c'est pas plus avant que je retourne dans le monde des rêves.J'étais sur le point de m'endormir quand j'attendis Lou gémir mon surnom. Je me leva un peu maladroitement pour aller la retrouver. Elle était couché dans son lit, je m'assis à coté d'elle et lui caressa le front. Elle était brulante.

Lou: Je suis pas bien...

Elle avait a peine terminé sa phrase qu'elle vomis. C'était dégoutant, mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Pourquoi Zohar ne m'avait pas dit qu'elle était malade ? Je la pris dans mes bras. Elle était toute endormir , mais chignait un peu quand même. Dehors le soleil était bien présent. Il était rendu cinq heures et demi du matin et ma trop courte nuit était fini... Je me rendis dans la salle de bain pour prendre la température de Lou. Elle était haute, pas au point que j'appelle l'ambulance, mais quand même! Elle revomis quand je lui enleva le thermomètre de la bouge, puis elle se mit à pleuré. Souvent quand Lou allait vraiment mal Bizoo notre chat domestique perdait la tête. Il devenait mauvais et attaquait toute personne qui était trop proche de Lucya. Moi comprise ! Il ne prit pas de temps avant de me mettre ses dix griffes dans le mollet. Je retenu un petit cri de douleur avant de le repousser avec mon pied. Je ne lui avait pas donner de coups comme j'avais mit mon pied sous son gros ventre pour le lancer. Je ferma la porte apres sa sortir. Bizoo revenu à l'attaque, mais fonça dans la porte. J'étais prise entre les pleures de ma fille et les crie violent du chat qui voulait protéger sa maitresse.

Mary: Mama ! T'as fait mal à bizoo.

Léonie:No baby. Il n'a pas eu mal...

Mary:J'ai bobo au ventre....

Léonie:I Know Baby. Il faut prendre un bain et sa va passer.

J'assis Lou sur la céramique froide de la salle de bain puis commença à faire couller l'eau pour la néttoyer un peu. Comme elle c'était vomis dessus ça ne serai pas gentil de ma par de la laisser dans cette état. Puis il y avait ce chat qui ne voulait pas ce la bouclé....

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Je dormais comme une marmotte quand j'entendis toute sortes de bruits qui me tirèrent de mon sommeil. En ouvrant péniblement les yeux, je vis que Léonie n'étais plus là. En me levant, j'écoutais un peu mieux. Le chat faisait des bruits furieux, et une forte odeur de vomi me parvint aux narines. Je réprima une grimace d'écœurement.

-Merde...

Je sorti et me rendis jusqu'à la salle de bain. Le chat grattait a la porte comme un fou, on aurai presque dit que c'était un tigre s'il était plus gros. Je me penchai et l'attrapai par la peau du cou, comme les mères attrapent leurs petits. Battant des pattes dans le vide, je le levai jusqu'a hauteur de mes yeux et le fixa.

-Arrete ça tout de suite, sinon, je te fous dehors pendant une semaine. Calme toi un peu ou tu sera puni.

Finalement, ce n'étais pas un, mais deux enfants que j'avais. Voir trois quand ma femme décidait de s'y mettre. J'ouvris la porte, entra dans la salle et referma en prenant soin de déposé Bizoo du côté extérieur.

-Qu'est ce qui se passe ?

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La voix de Zohar se fit entendre de l'autre coté de la porte. Il engueula se stupide chat. Si c'était pas que Zohar soit en parti félin sa ferai longtemps que j'aurai acheter un bulldog pour le manger!J'aime les chats! Mais avec le travaille que Zohar a fait sur le mental de la pauvre bête et le pouvoir de Léonie j'ai de la misère à le supporter! Il devient trop agressif et je ne sais pas si c'est moi qui devient paranoïaque, mais il est de plus en plus fort!

Lou:Mommy...

Je tourna la tête vers ma fille malade. J'aimais pas la voir dans cette état. Quelle mère aime voir son enfant comme ça de toute façon!? Zohar entra dans la salle de bain. Je tourna la tête vers lui quand il me demanda se qui se passait. J'arrêta l'eau. Mon but n'était pas de noyer Lou.

Léonie:Désoler, je ne voulais pas te reveiller.

Je me mit a genou ( fesse sur pied) sur le sol et mit Mary sur mes genoux. Je fis une petite grimace quand je sentis la douleur dans mon mollet.Je la dévêtis pour la mettre dans le bain tout en répondant à Zohar. À chaque fois que je la bougeais elle faisait un petit gémissement.

Léonie:Comme tu peux le voir Lucya est malade. Elle est brulante et elle vomis partout... Tu n'as pas remarquer qu'elle n'était pas bien avant de la mettre au lit? Ce n'est pas un reproche, c'est juste une question. Je trouve pas sa normal que la fièvre soit monté aussi rapidement.

Quand je mis la gamine dans l'eau elle sursauta et se mit à se plaindre d'une manière incompréhensible sur le fait que c'était froid. Au même moment ce stupide chat se mit à grogner comme le bulldog que j'aimerai avoir.

Léonie:Please!Take your cat and put it in the freezer!

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Léonie était en train de dévêtir la petite pour la mettre dans l'eau. C'était le meilleur moyen pour faire baisser la fièvre. Quand a moi, je n'avais rien remarqué quand je l'avais mise au lit.

-Non, absolument rien. Je lui ai lu une histoire et on a discuter un peu. Elle rigolais même avant que je la laisse dormir. Et son front était frais... Je vais appeler le médecin de garde, et je vais nettoyer la chambre en attendant.

Je pris le chat et l'emmena avec moi.

-Toi, il me semble t'avoir dit de la fermé.

Je l'enferma dans la chambre de Lou, d'où provenait une affreuse odeur de vomis. Si j'arrivais a la sentir, lui aussi. Puis je pris la direction du salon et composai le numéro de téléphone. Après quelques minutes d'entretiens, un médecin fut envoyer a notre domicile. Je pris quelques produits nettoyant et une serpillère, et je retourna dans la chambre de Mary Lucya, et je commença à nettoyer.

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-Fait donc...

Je n'avais pas trop compris se qu'il avait dit. J'avais arrêté d'écouter quand il me dit que Lucya allait bien à l'heure du coucher. Je commençais à vraiment m'inquiété pour son état surtout qu'elle n'arrêtait pas de gémire. Je lui caressa doucement les cheveux pour tenté de la calmé un peu. Zohar quitta la pièce, il aurait pu resté que je n'aurai pas plus remarquer sa présence à coté de moi.

Un petit moment passa. Je fini de nettoyé la petite. Elle ne avait marre d'être dans l'eau et passait son temps à s'endormir. Je la sorti de l'eau et l'enveloppa dans une immense serviette. Je la pris dans mes bras. Elle était trop lourde! Quand avait-elle décidé de prendre autant de poids? La fatigue devait être plus présente en moi que je le pensais , sans oublier que mon corps me faisait toujours mal.

Je sortis de la salle de bain . Lucya avait accoté sa tête sur mon épaule et semblait repartir dans le pays des rêves. Je me laissa tombé doucement sur le divan avant de prendre la parole. Si j'aurai duré plus longtemps avec la petite dans les bras j'aurai tout lâcher.

-Qu'est ce que le médecin à dit?

Je me mis a caresser doucement le dos de ma petite puce qui avait recommencé à gémire. Zohar était pas dans la meme pièce mais il ne tarderai pas à arriver.

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J'avais roulé les draps salis en boule et les avais mis directement dans la machine a laver avant de l'allumer. Si on attendais, l'odeur allait s'incruster et j'allais continué a la sentir. Cette effluve nauséabonde m'écœurais vraiment. Une fois le nettoyage d'urgence terminé, je retournai dans le salon. Ma femme me demanda ce qu'avais dit le médecin.

-Il va venir. Mais lui aussi trouve ça étonnant qu'elle ai eut autant de fièvre en si peu de temps...

J'allai m'assoir a côté d'elle et me mis a caressé les cheveux de ma fille en la regardant gravement.

-Tu sais, s'il trouve pas ce qu'elle as, on risque de devoir la mener à l'hôpital... Si elle continue a vomir, elle va se déshydraté.

Je posai la main sur son front, il était encore un peu chaud. La température avait du baisser avec le bain, mais pas encore suffisamment.

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Je le laissa prendre place à coté de nous puis écouta se qu'il avait à dire. Puis il parla de l'hôpital. Je fronça les sourcils. Je ne voulais pas envoyer ma fille à l'hôpital! Je détestais ce genre d'endroit! Je la serra un peu plus contre moi en lui donna un baiser sur le coté de la tête.

-Ce n'est pas la première enfin qui attrape la gastro Zohar.

Le chat s'approcha de nous. Il semblait piteux. S'il s'approchait trop de moi il allait se retrouver avec un coup de pied sur le museau ! Lucya Mary dort alors pas de danger de me faire bouder!

-Tu devrais peu-être aller lui chercher des vêtements sec et aller te laver les mains. Je ne veux pas me ramasser avec deux malades ce matin. Je vais m'occupé de Lou.

Je me laissa caller un peu plus dans le divan. J'étais inquiète pour Lou plus que je ne le laissais voir. J'étais sur le point de devenir folle, mais étrangement je savais gardé mon contrôle ce soir. Une fois bien installer je fermais mes yeux pour me calmé un peu.

-Prend des vêtements noir pour pas que sa tâche.

Messages : 30 Date d'inscription : 15/02/2009 Localisation : Montréal

-Surement.

Sans plus d'explication, je me levai et alla faire ce que m'avais demander Léonie. Je me lavai les mains, pour ne pas récupéré les microbes, et me rendis dans la penderie pour récupéré les affaires qu'elle voulait. J'étais à peine revenu qu'on sonna à la porte. Je déposai les affaires et me rendis a la porte. Léonie avais peut être raison, c'était peut être une gastro. Mais je trouvais ça tout de même bien inquiétant.

-J'arrive.

J'ouvris la porte et le médecin, un vieux monsieur avec un air sympathique, entra dans l'appartement. Je lui serra la main pour le saluer et le guida jusque dans le salon où se trouvais ma femme et ma fille. Sur le chemin, je lui expliquais rapidement ce qui s'était passer.

-Elle s'est mise a vomir et a avoir de la fièvre. Elle allait tout a fait bien il y a quelques heures quand je l'ai couché. Et elle s'est reveillé en vomissant partout.

Messages : 49 Date d'inscription : 15/02/2009

Au moment ou Zohar me donna les vêtements de Lou le signal d'arrivé du médecin se fit entendre. Le vieil homme entra dans la pièce. Je me leva quand Zohar commença à expliquer ce qui c'était passer avec notre fille.

-Pardonnez moi un moment. Je vais vêtir Mary et je reviens.

Je parti du salon laissant les hommes seuls. Je savais que l'homme en avait vu d'autre, mais je n'allais pas le laisser regarder ma fille dans la tête qu'elle était. Médecin ou pas ma fille ne se retrouverai pas dans cette position devant un autre homme que son père. Je ne suis pas paranoïaque, je ne veux juste pas mettre ma fille dans une position ou elle peu se sentir vulnérable.

Arrive dans ma chambre j'habilla rapidement la partie. Elle était sur le point de devenir verte et sa peau était brulante. Je me mis soudainement à pensé au vérus étrange que Pierre m'avait déjà parler. Une maladie qui ne touche que nous les mutants. Un frisson me parcourus la colonne.

Je fus de retrour dans le salon après cinq minutes. Lou était un peu réveiller comme j'avais du la bouger pour l'habiller. Je l'assis sur le divan et prit place à coté d'elle sur le bras.

Messages : 30 Date d'inscription : 15/02/2009 Localisation : Montréal

Le médecin posa son sac sur la table basse a coté du canapé. Je me mis dans le fauteuil en attendant le retour de ma femme et de ma fille et invitai le docteur a s'assoir lui aussi. Léonie nous rejoignis et le vieux monsieur se leva pour s'approcher d'elle et l'examiner. Il fit tout ses tests auquel je n'y connais absolument rien, prise de température, auscultation, coup d'œil a l'intérieur de la gorge... En attendant qu'il finisse je commençais a me rendormir dans le fauteuil bien confortable.

Doc : Ce n'est rien de bien grave. C'est juste une grosse gastro. Mais ce qui est inquiétant, c'est qu'elle l'est attrapé si vite. Vous devriez faire des examens plus approfondis, elle a peut être une défaillance immunitaire, ou une carence en quelque chose... Pour le moment, ce n'est rien, mais il vaudrai mieux en savoir plus, sinon, ça pourrai s'aggraver...

Il commençait a devenir inquiétant celui là avec ses insinuations. Rien qu'avec ça, elle allait avoir droit a une prise de sang, que ça lui plaise ou non. Je me forçai a me lever.

-Le nécessaire sera fait, merci d'être venu et de prendre soin d'elle comme ça.

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